Retraite de 3 jours en l'honneur de Notre-Dame du Rosaire.

Si vous avez manqué l'événement en direct, BONNE NOUVELLE… nous vous offrons un accès exclusif à un accès numérique instantané à l'intégralité de la retraite, comprenant les 10 sessions réparties sur 3 jours.

Une copie éditée par des professionnels de l'événement du Rosaire sera bientôt expédiée sur une clé USB spéciale à chérir pour toujours.

Vous aurez un accès immédiat à plus de 25 heures d'Immaculée partageant son amour du Rosaire, les messages de Notre-Dame et le POUVOIR qu'il détient comme notre plus grande arme.

A l'occasion de cette grande Fête, j'ai préparé une retraite de 3 jours pour réfléchir sur le pouvoir de la Sainte Mère et son rôle dans nos vies, et les armes qu'elle nous donne pour vaincre l'ennemi et atteindre le cœur de Dieu. Nous ne sommes jamais seuls, il n'y a rien à craindre tant que nous L'avons ; rien ne nous est impossible tant que nous prions et si nous pouvons écouter Notre Mère. Je parlerai des différents endroits où elle est apparue et vous expliquerai ses messages en détail, ainsi que son message le plus important : le pouvoir du chapelet et ses miracles dans la vie de tous les jours. Je parlerai de la foi, de l'importance des messages de Notre-Dame dans le monde et de la manière de vivre ses messages dans notre vie quotidienne et d'utiliser le pouvoir qu'elle nous donne.

Alors que nous célébrons le Fête du Rosaire le 7 octobre, également connue sous le nom de Notre-Dame de la Victoire, signe de la puissance de la Sainte Mère dans nos vies. Notre-Dame nous a dit qu'il n'y a pas de plus grand pouvoir que le Rosaire s'il est prié avec le cœur. J'ai vu de nombreux miracles dans ma vie, grâce à une aide que je ne pensais pas recevoir dans mes besoins, dans des moments de souffrance. Des grâces tout simplement surnaturelles à travers cette prière. Le Rosaire est un outil de notre foi que les saints ont toujours prié. On disait que saint Padre Pio était toujours vu avec le chapelet à la main. Il l’appelait une arme pour fouetter le diable.

Une partie des bénéfices servira à aider la paroisse de Mushubati près de mon village. Elle a perdu des milliers de paroissiens pendant le génocide, elle est devenue très délabrée et a besoin de réparations. C'est très spécial car c'était le curé de la paroisse, l'abbé. Clément qui a été tué pendant le génocide, il a épousé mes parents, nous a baptisés, etc. et il n'a jamais quitté son église bien-aimée, restant sur place pour entendre les confessions et consoler ceux qui allaient mourir. Ils l'ont tué juste après et je crois que c'est un saint.

Que Dieu te bénisse,

Immaculée

Histoire du jour de fête, avec l'aimable autorisation du site Web de l'Agence de presse catholique :

Le 7 octobre, l'Église catholique romaine célèbre la fête annuelle de Notre-Dame du Rosaire. Connue depuis plusieurs siècles sous le titre alternatif de « Notre-Dame de la Victoire », cette fête a lieu en l'honneur d'une victoire navale du XVIe siècle qui a protégé l'Europe contre l'invasion turque. Le pape Saint Pie V a attribué la victoire à l'intercession de la Bienheureuse Vierge Marie, invoquée le jour de la bataille à travers une campagne de prière du Rosaire dans toute l'Europe.

La fête a toujours lieu une semaine après la célébration byzantine similaire de la Protection de la Mère de Dieu, que la plupart des chrétiens orthodoxes orientaux et des catholiques orientaux célèbrent le 1er octobre en souvenir d'une victoire militaire du Xe siècle qui a protégé Constantinople contre l'invasion après un conflit marial. apparition.

Le pape Léon XIII fut particulièrement dévoué à Notre-Dame du Rosaire, produisant 11 encycliques sur le thème de cette fête et de son importance au cours de son long pontificat.

Dans le premier d'entre eux, « Supremi Apostolatus Officio » de 1883, il fait écho aux paroles de la plus ancienne prière mariale connue (connue dans la tradition latine sous le nom de « Sub Tuum Praesidium »), lorsqu'il écrit : « Cela a toujours été l'habitude de Les catholiques en danger et dans les temps difficiles doivent chercher refuge auprès de Marie.

« Cette dévotion, si grande et si confiante, envers l'auguste Reine du Ciel, a poursuivi le pape Léon, n'a jamais brillé avec autant d'éclat que lorsque l'Église militante de Dieu a semblé menacée par la violence de l'hérésie… ou par une corruption morale intolérable, ou par les attaques d’ennemis puissants. Au premier rang de ces « attaques » se trouve la bataille de Lépante, un moment périlleux et décisif de l’histoire européenne et mondiale.

Les troupes de l’Empire turc ottoman avaient envahi et occupé l’Empire byzantin en 1453, soumettant une grande partie du monde chrétien de plus en plus divisé à une version de la loi islamique. Au cours des cent années suivantes, les Turcs étendirent leur empire terrestre vers l’ouest et affirmèrent leur puissance navale en Méditerranée. En 1565, ils attaquèrent Malte, envisageant une éventuelle invasion de Rome. Bien que repoussés à Malte, les Turcs s'emparèrent de Chypre à l'automne 1570.

L’année suivante, trois puissances catholiques du continent – ​​Gênes, l’Espagne et les États pontificaux – formèrent une alliance appelée la Sainte Ligue pour défendre leur civilisation chrétienne contre l’invasion turque. Ses flottes s'embarquèrent pour affronter les Turcs près de la côte ouest de la Grèce le 7 octobre 1571.

Les membres d'équipage de plus de 200 navires ont prié le Rosaire en préparation à la bataille, tout comme les chrétiens de toute l'Europe, encouragés par le Pape à se rassembler dans leurs églises pour invoquer la Vierge Marie contre les redoutables forces turques.

Certains récits disent que le pape Pie V a eu une vision miraculeuse de la victoire éclatante de la Sainte Ligue. Sans aucun doute, le pape a compris l'importance des événements de la journée, lorsqu'il a finalement été informé que tous les quelque 300 navires turcs, sauf 13, avaient été capturés ou coulés. Il fut poussé à instituer la fête désormais universellement célébrée sous le nom de Notre-Dame du Rosaire.

« La victoire turque à Lépante aurait été une catastrophe de première ampleur pour la chrétienté », a écrit l’historien militaire John F. Guilmartin, Jr., « et l’Europe aurait suivi une trajectoire historique étonnamment différente de celle qui l’a suivi. »